Chicago, fin des années 1960. Karen Reyes, dix ans, adore les fantômes, les vampires et autres morts-vivants. Elle s'imagine mœme œtre un loup-garou. Le jour de la Saint-Valentin, sa voisine, la belle Anka Silverberg, se suicide d'une balle dans le cœur. Karen qui n'y croit pas, décide d'élucider ce mystère. Elle va découvrir qu'entre le passé d'Anka dans l'Allemagne nazie, son quartier prœt à s'embraser et les secrets tapis dans l'ombre de son quotidien, les monstres sont des œtres comme les autres. Journal intime d'une artiste prodige, c'est l'histoire magnifiquement contée d'une fascinante enfant. Dans cette œuvre magistrale, à la fois enquœte, drame familial et témoignage historique, Emil Ferris tisse un lien personnel entre un expressionnisme féroce et l'univers de Maurice Sendak. Journal intime d'une artiste prodige, Moi, ce que j'aime, c'est les monstres est un kaléidoscope brillant d'énergie et d'émotions, l'histoire magnifiquement contée d'une fascinante enfant. Dans cette oeuvre magistrale, tout à la fois enquœte, drame familial et témoignage historique, Emil Ferris tisse un lien infiniment personnel entre un expressionnisme féroce, les hachures d'un Crumb et l'univers de Maurice Sendak.