661 Rock (s) Et (s) Variétés (s) Inter (s)

Cet album est produit, arrangé, composé et joué par Prince et Joshua Welton. Musicalement, celui-ci est une concoction contemporaine de soul, de R&B et de funk. Les mélodies sont proéminentes et immédiates, et la voix de Prince, riche et solide, est accompagnée d'un texte séduisant.

On trouve ici tous les éléments qui font le style du rockeur américain, des touches acoustiques, un groove à la Stooges, un songwriting digne de Neil Young, la noirceur de Black Sabbath et le garage blues des Stones.

Auteure et compositrice hors pair, elle écrit pour les plus grandes stars internationales de la pop telles que Rihanna (Diamonds), Katy Perry (Double rainbow), Britney Spears (Perfume), Beyoncé (Pretty hurts), Celine Dion et collabore avec Diplo, The Weeknd, Kylie Minogue et Angel Haze. Elle a aussi écrit et prêtée sa voix à certains tubes mondiaux : Titanium avec David Guetta, Beautiful pain avec Eminem et Wild ones avec Flo Rida.

Rock or Bust a été enregistré au printemps 2014 au Warehouse Studio à Vancouver, et encore une fois produit par Brendan O’Brien et mixé par Mike Fraser. Ce nouvel album est appelé à poursuivre l’immense succès de leur précédent album ôBlack Iceö, qui fut numéro 1 dans 31 pays à sa sortie en 2008, et qui s'est écoulé à plus de 8 millions d’exemplaires dans le monde.

Turning est l'une des oeuvres les plus notables dans la carrière d'Antony Hegarty, tête pensante du groupe. Il lui a fallu pas loin de sept ans pour le réaliser et pratiquement deux années à le présenter à de nombreux festivals. En 2006, Antony embarque pour une tournée intitulée Turning avec 13 femmes dont de nombreuses transgenres, les présentant sur une plaque tournante explorant ainsi la notion identitaire et proposant une expérience esthétique et spirituelle. Antony Hegarty a toujours été un militant de la cause féminine et trans, il fut l'un des premiers artistes à mettre en scène des transgenres au sein d'un spectacle contemporain. Les mentalités ont depuis un peu évoluées, de nombreuses transgenres sont aujourd'hui des célébrités telles Laverne Cox (Orange Is The New Black), ou Lana Wachowski (réalisateur de Matrix). Ce documentaire est accompagné d'un live enregistré à Barbican regroupant les plus gros succès de la formation.

La chanteuse à la voix d’or encensée par la critique et que la presse britannique compare à Aretha Franklin ou même Amy Winehouse estde retour dans les bacs avec son second album "Freedom". inaliste malheureuse du télé crochet à succès au Royaume-Uni, The X Factor, Rebecca Ferguson qui a fait partie de la même saison, que Matt Cardle, One Direction ou encore Cher Lloyd, a plus que légitimement gagné sa place dans le paysage musical anglais. Trois ans après et quelques 600.000 albums plus tard Rebecca Ferguson a réussi à s’imposer par son talent et sa voix exceptionnelle.

Avec Gold Shadow, Asaf Avidan signe son 6ème album en 8 ans et conclut de la plus belle des manières un cycle de vie particulièrement dense, fait d’échecs (amoureux) et d’éclatants succès (artistiques). À 34 ans, ce fils de diplomate, né à Jérusalem et grandi entre la Jamaïque, la Thaïlande et Israël, nous gratifie d’un disque rare qui tranche de façon spectaculaire avec la ronde des « marchandises culturelles » par la pureté cash des émotions qu’il véhicule et la riche diversité des matériaux musicaux qu’il convoque : blues, jazz, rock, folk et synth pop... « C’est l’album où j’ai mis le plus de moi-même » admet le chanteur à la crête punk. « Vocalement, je m’y suis plus investi que dans n’importe quel autre de mes projets. Quant aux textes, je les ai travaillés avec encore plus d’ambition qu’auparavant. » L’aveu a quelque chose de superflu. Comme si les 12 chansons de Gold Shadow vous marquaient suffisamment pour se dispenser d’en faire la retape. Elles vous marquent comme vos premières cigarettes. Ou mieux, comme ces brûlures de cigarettes à même la peau que l’on s’inflige enfant pour prouver à ses camarades que l’on est capable de surmonter la douleur. Au début, on ne sent qu’un léger picotement. Et à la fin, on est près de considérer la souffrance comme une extension du plaisir. C’est un processus sensoriel identique à l’œuvre dans les plus beaux chants d’Edith Piaf, Nina Simone ou Billy Holiday. Ceux dont Deleuze aurait pu dire: « il y a de la mort, de la tristesse, de la maladie en eux. Mais de cette mort, de cette souffrance, de cette maladie, s’élève une même clameur de l’être ».

Ce sont les histoires douloureuses et sensuelles de la jeune vie de cet artiste anglais de 25 ans, qui nourrissent l'intensité et l'originalité de son expression, pour constituer toute la chair de ce premier opus.

Cet album fait sans autre instrument que la voix et des percussions corporelles, est un subtil mélange des harmonies vocales d'un Bobby McFerrin et de mélodies pop avec un timbre de voix soul à la Otis Redding.

En quelques morceaux seulement, les jumelles franco-cubaines Lisa-Kaindé et Naomi Diaz (filles du regretté percussioniste Anga Diaz) d’Ibeyi ont secoué la soul moderne de leurs voix féériques et de leurs harmonies enchantées. Une universalité des sons et des mots (anglais / yoruba) qui a su séduire le label de Richard Russel, XL recordings. qui compte parmi ses talents Adele, XX, Radiohead, ou Jack White . Richard Russell décide non seulement de les signer, mais aussi de devenir le producteur de leur premier album, dont l’enregistrement a commencé en mars 2014. Sa dernière réalisation a été le premier album solo de Damon Albarn « Everyday robots », ils avaient déjà collaboré sur la production de l’album de Bobby Womack. Richard Russel a aussi produit l’ultime magnifique album de Gil Scott Heron " I’m new here ». En trente ans d’existence, c’est la première fois qu’un des labels de Beggars (XL/Matador/4AD/Roughtrade) signe en direct un artiste français pour le monde. Ibeyi ne ressemblent à personne. La production de Richard Russell étoffe la profondeur de leur musique, un Negro Spiritual contemporain, avec de l’électro, du hip hop et d’énormes basses.

Sept ans après son premier album et le tube mondial New soul, la musicienne franco-israëlienne revient avec un disque où elle chante comme jamais auparavant. Sur Dream in my head, on découvre un répertoire inspiré des grandes voix de la soul.

Treizième album du groupe mélangeant la pop psyché, le rock baroque et symphonique : comme si Queen avait rencontré l'indie rock.

Ses chansons, saisissantes, aux mélodies irréprochables mais jamais attendues et aux envolées rock et orchestrales, soufflent le chaud, le froid et sont chantées, avec la verve qu'on lui connait. On y entend ce fameux son de guitare (guitares que l'on doit parfois à Birgir Jon Birgisson de Sigur Ros), des cordes, de l'orgue Hammond - un survol au dessus des sublimes paysages de l'Islande.

En 2012, sa voix illumina Latch, le tube de Disclosure. Aujourd’hui, à seulement 22 ans, Sam Smith û cousin de Lily Allen û fait une entrée fracassante sur la scène pop avec un superbe premier album mélancolique au coeur duquel brille sa voix soul à souhait.

Le quatuor américain présente un premier album ébouriffant. Sous le vernis pop se cache des paroles douces amères traitant de la jeunesse américaine et de la difficulté de grandir.

Ils sont de retour avec leur premier album en quatre ans. Toujours provocateur, le couple Mariam Wallentin (chant) et Andreas Werliin (batterie) livre un opus musclé et aiguisé par leurs années de performances live.

Si l'on croise ici les ombres des Talking Heads, de Grace Jones ou de Blood Orange ainsi que la présence bien réelle d'Isabelle Adjani et JD Samson du groupe Le Tigre, c'est qu'Alex Aikiu a grandi entre New York et Paris.

Une nouvelle fois, ce disque n'a qu'une vocation : surprendre vos oreilles en explorant de nouveaux territoires musicaux, en mettant en avant le métissage musical à travers les musiques électroniques, le rap, la soul, le reggae et la musique brésilienne. Une obsession multiple : la recherche de l'éclectisme, d'une haute qualité, la découverte de nouveaux talents, respirer l'air de Paris, New York, Berlin, Londres et d'ailleurs, tels sont les réflexes du Grand Mix de Nova.

Issu de la scène musicale d'Austin où il a grandi, Gary Clark Jr. a commencé à jouer de la guitare à 12 ans et à se produire dans les clubs avec les plus grands guitaristes dont l'illustre Jimmy Vaughn. Depuis, il a participé au célèbre Crossroads Guitar Festival d'Eric Clapton à Chicago et a donné un concert à la Maison Blanche devant le Président Obama avec d'autres guitaristes de talent tels Jeff Beck, BB King ou Buddy Guy. Après un premier album (Blak and blu en 2012), il revient ici avec un disque qu'il a produit, composé et joué presque intégralement lui-même. On y retrouve les inspirations qui ont fait de ce personnage un nouveau souffle pour la musique blues : des riffs de guitare solides, et des gemmes de soul infusées de R&B.